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3° SEMINAIRE INTERNATIONAL DU VATICAN



Préface

Cardinal Stanislaw Rylko *

Les associations sportives d'inspiration catholique jouent un rôle important dans l'ensemble de la société. En fait, il existe de nombreux pays dans lesquels une grande partie des activités sportives, en particulier celles des jeunes, sont organisées et dirigées par des institutions directement affiliées à l'Église catholique ou par des associations qui s'inspirent des principes catholiques. Il suffit de considérer le nombre réel de garçons et de filles qui, dans le monde entier, pratiquent, semaine après semaine, des activités sportives qui sont gérées par des écoles catholiques, des centres de jeunesse paroissiaux ou d'autres structures ou organisations établies par des associations catholiques.

Le cardinal Francis George, archevêque de Chicago, a récemment écrit un livre intitulé : "La différence que Dieu fait : une vision catholique de la foi, de la communion et de la culture" 1 A la lumière de ce titre, nous pouvons nous demander : quelle différence Dieu fait-il dans le monde du sport ? Qu'est-ce que notre foi apporte à la pratique d'un sport ? Qu'est-ce qui différencie une association sportive catholique d'une autre ? Quelle est son identité propre et sa mission ? Quelle est la contribution du mouvement sportif catholique en général à la mission d'éducation et d'évangélisation de l'Eglise ? Ce sont les questions auxquelles nous avons cherché à répondre au cours du séminaire international "Sport, éducation, foi : vers une nouvelle saison pour les associations sportives catholiques", promu par le Conseil Pontifical pour les Laïcs et dont les actes sont publiés dans cette publication. Le séminaire, organisé par la section "Eglise et sport" de notre dicastère, s'est tenu à Rome les 6 et 7 novembre 2009 avec la participation d'une centaine de personnes venant des cinq continents. Le thème a été abordé avec l'effort conscient et le désir de réintégrer le sport dans une perspective éducative.

Dans les milieux ecclésiaux, certains considèrent le sport comme une menace pour la pastorale des jeunes, car ses activités peuvent entrer en conflit avec les horaires prévus pour le catéchisme ou la formation de la foi, voire empiéter sur le dimanche lui-même, le jour du Seigneur. D'autres considèrent le sport comme une sorte de crochet qui peut attirer les jeunes vers l'Église. Parmi les parents, certains considèrent le sport comme un programme parascolaire pratique pour leurs enfants, tandis que d'autres y voient une occasion de pousser leurs enfants à devenir riches et célèbres. Tout bien considéré, rares sont ceux qui voient un lien entre la pratique du sport et la pratique de la foi. Néanmoins, l'attention que l'Église a accordée à cette activité a une longue histoire. C'est parce que la foi fait une différence, même dans le monde du sport.

Pie XII, dans son discours au Centro Sportivo Italiano (Centre Sportif Italien) en 1945, a déclaré : "... seule l'attitude chrétienne à l'égard du sport peut lutter efficacement contre les faux concepts et les tendances pernicieuses, et prévenir leur mauvaise influence. En contrepartie, elle enrichit la culture physique de tout ce qui tend à élever la valeur spirituelle de l'homme. De plus, elle oriente le sport vers une exaltation noble de la dignité, de la vigueur et de l'efficacité de la vie pleinement et fortement chrétienne. Lorsqu'il reste fidèle aux principes de sa foi, l'apostolat du sportif consiste en cela". 2

Cette affirmation - toujours d'actualité - est reprise d'une certaine manière par le pape Benoît XVI lorsqu'il écrit : "Parmi les diverses activités humaines, il y a le sport, qui attend lui-même d'être illuminé par Dieu par l'intermédiaire du Christ pour que les valeurs qu'il exprime soient purifiées et élevées tant au niveau individuel que collectif". 3

En fait, les organisations sportives qui sont régies et motivées par des principes chrétiens devraient se distinguer par les caractéristiques suivantes : par l'intention d'éduquer par le sport ; par l'énergie et les ressources qu'elles consacrent à la formation de leurs éducateurs ; par une large appréciation de la dimension sociale du sport ; par une hiérarchie appropriée des valeurs dont le point de référence ultime est Dieu.

Intentionnalité de l'éducation. Historiquement, il est impossible de nier qu'il existe une relation de longue date entre l'éducation et l'exercice physique. Dans la période classique d'Athènes, l'activité physique faisait partie intégrante de la paideia, le processus éducatif intégral et exigeant qui a été transmis à la jeunesse de la Grèce antique. Le sport sous sa forme moderne a ses racines initiales dans l'Angleterre du 19e siècle grâce à l'éducateur bien connu Thomas Arnold qui a institué une approche pédagogique du sport à la prestigieuse école de rugby. À notre époque, le Concile Vatican II lui-même énumère l'activité sportive parmi les différents moyens qui appartiennent au patrimoine général de l'humanité et qui ont une grande influence sur la formation des âmes et la formation de la personne. 4 Les Pères conciliaires expriment par ailleurs le désir suivant : " ... que les loisirs (le temps) soient utilisés correctement pour se détendre, pour fortifier la santé de l'âme et du corps (...) par une activité sportive qui contribue à préserver l'équilibre de l'esprit même dans la communauté, et à établir des relations fraternelles entre les hommes de toutes conditions, nations et races. Que les chrétiens coopèrent afin que les manifestations culturelles et l'activité collective caractéristiques de notre temps soient imprégnées d'un esprit humain et chrétien". 5

Bien que les activités sportives aient lieu principalement pendant les loisirs, elles ne sont pas superflues. Comme l'a fait observer le pape Paul VI, les activités sportives "doivent être une école d'éducation et de respect (...) un moyen d'élévation de la personne tout entière dans ses composantes esthétique, éthique et religieuse. En effet, lorsqu'elles sont pratiquées de façon correcte, elles sont une belle école de perfectionnement des vertus humaines, qui sont le fondement irremplaçable sur lequel forger, avec l'aide de Dieu, les vertus chrétiennes. 6 Quelles sont les vertus humaines ? Le pape Pie XII en a énuméré quelques-unes : la loyauté qui ne permet pas l'utilisation de subterfuges ; la docilité et l'obéissance aux règles qui guident l'exercice du travail en équipe ; l'esprit de renoncement à soi-même face à la tentation de rechercher frauduleusement l'avantage de son équipe ; la fidélité à son engagement, la modération dans la victoire, la générosité envers les vaincus, la sérénité devant les vainqueurs et la fortune adverse, la patience envers la démesure des spectateurs, la justice lorsque le sport de haut niveau est lié à des intérêts financiers ; ainsi que la chasteté et la tempérance qui étaient déjà recommandées en général par l'antiquité. 7

Une orientation qui reflète le principe clé de l'anthropologie chrétienne, à savoir l'unité de la personne humaine, est fondamentale pour les activités sportives qui cherchent la formation intégrale de la personne dans toutes ses dimensions, qu'il s'agisse des aspects physiques ou de ceux qui concernent l'intelligence et la conscience morale de la personne. Mais tout cela risque de rester lettre morte si ceux qui dirigent les organisations et les programmes sportifs n'ont pas cette intention éducative. Et nous savons que lorsque cette portée éducative fait défaut, ces environnements deviennent facilement un sport de "no man's land" qui est dominé par un simple activisme, sans dimension ni but formateur. Il est donc nécessaire d'établir une sorte d'alliance éducative entre les associations sportives catholiques et les parents de ces jeunes afin que les activités soient imprégnées d'une approche qui favorise leur développement global et renforce les efforts éducatifs des parents.

Formation des éducateurs. La question de savoir comment rétablir la fonction éducative de l'activité sportive aujourd'hui est d'actualité et place au premier plan l'urgence de former les personnels sportifs de manière à ce qu'ils puissent devenir de véritables éducateurs. Pour les jeunes en particulier, le plus important est que ces valeurs dont on parle soient également incarnées dans la vie de leurs éducateurs. Ainsi, on voit bien combien il est nécessaire que les directeurs, les entraîneurs et le personnel sportif soient bien équipés avec les compétences pédagogiques qui leur permettent non seulement de transmettre de simples compétences techniques mais aussi de chercher à développer les composantes culturelles, sociales et morales qui constituent aussi le sport. Il est également important qu'ils aient un vif intérêt pour leur mission, un esprit magnanime et une endurance patiente. Les mêmes remarques s'appliquent aux nombreux parents et jeunes qui travaillent bénévolement au sein de ces associations sportives et qui constituent, comme c'est le cas dans des pays comme l'Italie, l'épine dorsale du mouvement sportif des jeunes.

Le sport authentique suscite l'intérêt et favorise le sentiment d'appartenance. Ainsi, l'une des fonctions importantes du sport est directement liée aux difficultés auxquelles les jeunes sont confrontés aujourd'hui. Le sport peut contribuer à donner aux jeunes un sens de l'orientation et un but à atteindre, car beaucoup d'entre eux vivent dans la solitude et dans un état de désordre général dû à la désintégration de la famille. À cet égard, les entraîneurs et autres personnels sportifs peuvent être des points de référence fondamentaux pour les jeunes. Par conséquent, leur présence est indispensable pendant la période de l'adolescence, lorsque les garçons et les filles ont tendance à créer une distance critique entre eux et leurs parents. Il est souvent exigé que l'éducateur sportif assume le rôle d'un ami qui fait autorité. Cela exige de l'éducateur une authenticité en paroles et en actes, ainsi qu'une proximité avec ces enfants qui ne se limite pas simplement à la pratique ou au temps de jeu, mais s'étend à d'autres facettes de leur vie. Pour produire des effets positifs qui perdurent dans le temps, cette proximité doit tenir compte du fait que l'éducation offerte est une rencontre libre et que l'éducation chrétienne elle-même est une formation à la vraie liberté. 8 En un mot, c'est un travail d'amour qui demande beaucoup de patience, de confiance et d'espoir, car la tâche d'éduquer est un voyage sans fin.

Le portrait ci-dessus de la figure de l'éducateur sportif catholique nous aide à voir les défis qu'implique la formation d'une nouvelle génération d'éducateurs ayant l'endurance, la motivation et le courage d'aller à contre-courant, apportant aux parties les plus arides du sport un message d'espoir et donnant aux athlètes la possibilité de s'améliorer, en perfectionnant non seulement leurs qualités physiques, mais aussi leurs qualités spirituelles.

Lors de son récent voyage en République tchèque, le Saint-Père, après avoir rappelé comment la rencontre européenne entre la tradition classique et l'Évangile avait donné naissance à une conception de la personne humaine et de la société sensible à la présence de Dieu, a affirmé ce qui suit : "À l'heure actuelle, carrefour de civilisation, si souvent marqué par un inquiétant effritement de l'unité du bien, de la vérité et de la beauté et la difficulté qui en découle à trouver une acceptation des valeurs communes (. ...), il est particulièrement important d'encourager d'urgence les jeunes Européens par une formation qui respecte et nourrit leur capacité, donnée par Dieu, à transcender les limites mêmes qui sont parfois présumées les piéger. Dans le domaine du sport, des arts créatifs et de la poursuite des études, les jeunes se réjouissent de la possibilité d'exceller. N'est-il pas tout aussi vrai que lorsqu'on leur présente des idéaux élevés, ils aspirent également à la vertu morale et à une vie de compassion et de bonté ? 9 C'est précisément ce que l'Église demande à ses éducateurs sportifs : poursuivre avec un but et un sens de la mission plus grands l'objectif d'un sport plus humain qui puisse être une école de vertu et un instrument de développement intégral de la personne.

Capitaliser sur le potentiel de construction sociale du sport. La conception chrétienne du sport le met au service de la croissance humaine de la personne. Il est indéniable que les activités sportives, comme les autres activités humaines, sont des canaux par lesquels la personne humaine peut entrer en contact avec Dieu. Cela est particulièrement vrai lorsque le sport est une approche dans l'horizon plus large de la foi. Le sport a une dimension très sociale qui peut favoriser la collaboration communautaire, l'amitié, la solidarité et le partage d'expériences telles que le travail en équipe. Même dans le sport, tous ces aspects fournissent une sorte d'apprentissage de "l'être Eglise" et constituent un antidote contre l'esprit individualiste qui marque notre époque moderne. Comme l'a souligné le cardinal George dans son livre précédemment cité, la société actuelle tend à oublier que la personne humaine est en relation avec les autres, et que la première et principale relation est celle que l'on a avec Dieu. En fait, c'est à travers cette reconnaissance de l'existence de Dieu qu'une personne peut se mettre en relation avec les autres : avec nos frères et sœurs dans l'Église et avec nos concitoyens dans la société. Au contraire, une conception de la personne humaine qui ne prend pas en compte ce rapport fondamental avec Dieu et avec les autres est incomplète.

Un autre point doit être souligné concernant la nécessité de rapprocher les jeunes de l'Église - des jeunes, pourrait-on ajouter, qui sont facilement attirés par autre chose et par un style de vie qui est loin de la pratique de la foi. Précisément dans ce monde où les gens semblent n'avoir aucun besoin de Dieu, le pape Benoît XVI nous rappelle qu'"il est important que les jeunes découvrent la beauté d'avoir Dieu comme ami qui peut vraiment nous dire les choses essentielles de la vie. Ce facteur intellectuel - a ajouté le Saint-Père - doit ensuite être accompagné d'un facteur émotionnel et social, c'est-à-dire d'une socialisation dans la foi ; car la foi ne peut se réaliser que si elle a aussi un corps, et cela implique l'être humain dans son mode de vie. (...) Cependant, étant donné que la vie sociale s'est éloignée de la foi (...) nous devons offrir des moyens de socialisation de la foi afin que la foi forme des communautés, offre des espaces vitaux et convainque les gens par un mode de pensée, d'affection et d'amitié vivante". 10 Le sport organisé et pratiqué dans le contexte ecclésial d'une association d'inspiration chrétienne peut certainement être un moyen valable pour une "socialisation de la foi", c'est-à-dire un lieu où les jeunes peuvent marcher avec le Christ avec d'autres, en faisant partie de l'Église. Les associations sportives peuvent jouer un rôle précieux dans le travail d'une première évangélisation. Dans cette optique, tout en respectant la dimension universelle du sport en tant qu'activité ouverte à tous, ces associations catholiques doivent néanmoins veiller à sauvegarder leur propre identité.

Ce potentiel éducatif de l'activité physique ne doit pas être considéré comme un fardeau pour le sport, mais plutôt comme ce qui peut lui donner un sens et le conduire à sa plénitude humaine. S'il est vrai que l'on ne peut pas affirmer de manière générale que le christianisme n'a rien à dire au monde du sport ni que le sport ne peut rien recevoir de l'Eglise. Aujourd'hui, le monde du sport se caractérise par une recherche à la fois de qualité et de sens. C'est pourquoi les associations sportives catholiques, les centres de loisirs paroissiaux et tous ceux qui les dirigent doivent - comme l'a souhaité le serviteur de Dieu Jean-Paul II - "être en première ligne dans ce domaine, afin de planifier un apostolat spécial adapté aux besoins des athlètes (...) pour promouvoir le sport qui peut créer les conditions d'une vie riche en espérance". 11

Une véritable hiérarchie des valeurs dont le point de référence ultime est Dieu. Il est certain qu'une prérogative des associations sportives catholiques est de promouvoir un sport plus humain. Dès le début, les pontifes ont fait prendre conscience de la double mission de l'Église, qui est de préserver le sport de la dégradation et d'éclairer la culture du sport avec la lumière que seul le Seigneur peut donner. Comme nous le dit notre Saint-Père le Pape Benoît XVI : "J'ajouterais naturellement qu'en fin de compte, le point central d'orientation de toute culture est Dieu, Dieu présent dans le Christ. (...) Une culture sans connaissance personnelle de Dieu et sans connaissance du visage de Dieu dans le Christ est une culture qui pourrait être destructrice, car elle n'aurait pas la connaissance des repères éthiques nécessaires. À cet égard, je pense que nous avons vraiment une profonde mission culturelle et humaine, qui ouvre les gens à toutes les richesses de la culture de notre temps mais qui fournit aussi le critère, le discernement pour tester ce qui est la vraie culture et ce qui pourrait devenir de l'anti-culture". 12

Pour élever le sport et être un ferment du christianisme, les associations sportives catholiques doivent non seulement proposer une manière chrétienne de pratiquer le sport de l'intérieur, mais aussi devenir un modèle exemplaire pour les autres dans un domaine où les valeurs de l'esprit sont facilement négligées et celles du corps trop exaltées. Dans ce sens, ces paroles que le Pape Benoît XVI a adressées aux athlètes de haut niveau peuvent également s'appliquer à la mission catholique dans le sport : "Beaucoup vous admirent, non seulement pour vos remarquables performances sportives, mais aussi pour les vertus et les valeurs qui caractérisent votre sport : persévérance, détermination, esprit de sacrifice, discipline interne et externe, attention aux autres, travail d'équipe, solidarité, justice, courtoisie, reconnaissance de ses propres limites, et d'autres encore. Ces mêmes vertus entrent également en jeu de manière significative dans la vie quotidienne et doivent être continuellement exercées et pratiquées...". 13 Il appartient aux athlètes chrétiens d'incarner ces attitudes et ces convictions. Donner l'exemple est particulièrement utile pour les jeunes d'aujourd'hui qui sont plongés dans une société en perpétuel changement et qui manifeste de plus en plus une perte de valeurs et une désorientation générale.

L'apôtre Paul a utilisé les images du sport de compétition comme métaphores de l'esprit de courage, de discipline et des exigences rigoureuses qu'exige une vie conforme à l'Évangile, et aussi pour rappeler notre but ultime ( cf. 1 Co 9, 24-25 ). Il peut également servir de rappel à tous ceux qui sont engagés dans le sport catholique - parents, directeurs, entraîneurs, personnel bénévole et même les athlètes -, pour qu'ils s'efforcent de promouvoir une nouvelle saison de sport vraiment humain, riche en valeurs chrétiennes, toujours plus attentif à l'authentique élévation de la personne, et d'autant plus engagé dans la mission d'évangélisation de l'Église. En effet, pour atteindre les personnes de notre temps, nous devons aller à leur rencontre de manière active dans les différentes facettes de la vie quotidienne et utiliser à bon escient toutes les possibilités qui nous sont offertes.

Les intervenants du séminaire, que ce soit à travers les conférences plus pensives ou les témoignages personnels des tables rondes, nous ont fourni une réflexion profonde et riche sur les différentes possibilités qu'offrent les associations sportives catholiques pour faire avancer la mission d'évangélisation de l'Église, en particulier auprès des jeunes en ce moment historique marqué par une "urgence éducative".

Ainsi, nous espérons que la publication de ces actes sur la mission et l'identité spécifiques des associations sportives catholiques pourra servir à encourager tous ceux qui sont engagés dans la direction du sport catholique pour la jeunesse à tirer pleinement parti des possibilités que ces activités offrent pour aider la pastorale de la jeunesse dans le monde entier.

* Président du Conseil pontifical pour les laïcs

1 F. George, O.M.I., La différence que Dieu fait : une vision catholique de la foi, de la communion et de la culture, New York 2009.

2 Pie XII, Discours au Centre Sportif Italien, 20 mai 1945 ( notre traduction )

3 Benoît XVI, Message au Cardinal Severino Poletto à l'occasion des XXe Jeux olympiques d'hiver à Turin, 29 novembre 2005.

4 Concile Vatican II, Déclaration sur l'éducation chrétienne Gravissimum Educationis, n. 4.

5 IDEM, Constitution pastorale sur l'Église dans le monde Gaudium et Spes, n. 61.

6 Pail VI, Discours aux membres de l'équipe de football A.S. Roma, 30 janvier 1974 ( notre traduction )

7 Cf. Pie XII, Discours au Centre Sportif Italien, 9 octobre 1955.

8 Cf. Benoît XVI, Discours aux participants à la convention du diocèse de Rome, 11 juin 2007.

9 IDEM, Discours aux autorités civiles et politiques avec les membres du corps diplomatique, 26 septembre 2009.

10 Jean-Paul II, Discours aux participants à la convention Sport, Foi et Éthique de la Conférence épiscopale italienne, 25 novembre 1989.

11 Benoît XVI, Discours aux membres du clergé de Rome, 26 février 2009.

12 IDEM, Discours à l'équipe nationale autrichienne de ski alpin, 6 octobre 2007.