Un Dieu d'amour !

Obadele Thompson était entouré de fidèles disciples du Christ ; il a grandi à la Barbade. En fait, Obadele était à l'église religieusement. "Mais bien que j'y étais physiquement, mon esprit était un visiteur rare", dit maintenant le sprinter de classe mondiale.

"À cette époque, j'ai vu mes deux sœurs aînées devenir des disciples du Christ et d'autres se faire baptiser", dit-il. "Pour moi, cela ressemblait plus à une mode, et je n'étais pas dans cette mode particulière."

La musique rap était le dieu de Thompson. "À l'époque, il n'y avait rien qui pouvait se mettre entre moi et mon rap - c'était ma religion et j'en étais le disciple le plus fanatique. Pour faire simple, j'étais un jeune rappeur fou furieux."

Alors qu'Obadele passait ses 15 ans, il savait que le Saint-Esprit de Dieu l'attirait. Le 13 août 1991, tout a changé.

"Ce jour-là, j'ai enfin eu un aperçu clair de qui j'étais vraiment et de la destination finale de mon âme, si je devais quitter la terre et faire face au jugement de Dieu à ce moment-là", dit-il. "J'ai compris cette formule critique pour le salut : une âme désespérément perdue et un Dieu d'amour qui désire changer de telles vies".

Au cours des années qui ont suivi, Thompson est devenu l'un des meilleurs de son sport, ainsi qu'un étudiant doué. Il est diplômé de l'université parmi les meilleurs athlètes universitaires.

Il a terminé quatrième au 200 mètres aux Jeux olympiques de 1996, est quatre fois champion national universitaire et détient le record du monde au 55 mètres (en salle) à 5,99. Thompson donne toute la gloire au Christ, mais il ne suggère pas que tout soit facile.

"Certains des plus grands défis ont été et continuent d'être les batailles qui se déroulent en dehors de la piste", dit-il, "les luttes quotidiennes pour être dans la foi. Certains jours sont meilleurs et plus lumineux que d'autres, mais même les jours les plus sombres deviennent de l'histoire, c'est-à-dire qu'ils sont eux aussi passés. Romains 8:37 appelle tous les vrais croyants "plus que vainqueurs" par le Christ. Je sais que j'ai la force, par lui, d'être tout ce qu'il m'appelle à être".

Thompson dit que toute l'humanité peut avoir cette force - s'il fait appel au Christ.

"C'est la clé d'une vie réussie : le Christ", dit Thompson. "Dieu interdit que que le salut soit entièrement laissé à l'homme. Nous échouons si souvent et si gravement que si le Christ, qui vit toujours pour intercéder en notre faveur, n'avait pas été là, toute notre expérience de la suite du Christ n'aurait rien donné".