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TEMOIGNAGE DE SPORTIF DE HAUT NIVEAU CARLOS EWOLO
Prédicateur sur le terrain
Oscar Ewolo est footballeur professionnel. Il
est l’une des valeurs montantes du football africain mais aussi un témoin
fervent de la Bonne Nouvelle!
Oscar Ewolo, quel est votre parcours et où
jouez-vous aujourd’hui?
Je viens du Congo et je suis arrivé en France
à 4 ans. J’ai commencé le foot à 10 ans dans mon quartier, dans une cité
d’Amiens. J’étais passionné et j’avais toujours un ballon pour aller
faire les courses, comme pour aller à l’école. J’ai commencé à jouer en
club à 11 ans, parce qu’un ami m’avait inscrit. Un jour j’ai été repéré
en jouant contre Amiens. J’ai commencé à 13 ans dans ce club. À 16 ans,
j’ai joué mon premier match pro en amical et à 18 ans, j’ai été sélectionné
pour mon premier match pro en Division 2. Aujourd’hui, je joue à Lorient et
aussi en équipe nationale du Congo. J’ai participé à la coupe d’Afrique
des nations en 2001 et à plusieurs éliminatoires de la coupe d’Afrique et de
la coupe du monde.
Comment vivez-vous votre foi dans ce monde si
particulier du sport à haut niveau?
Comme n’importe quel chrétien vit sa foi
dans son travail. Quand on est accroché au Seigneur, on vit sa foi à fond,
quel que soit l’environnement ...
Propos recueillis par Ginobi
EWOLO, il était une foi
Chrétien pratiquant, le milieu défensif lorientais
fait partager ses croyances à plusieurs de ses partenaires.
LORIENT -- de notre correspondant permanant
Sur le terrain, certains joueurs sont chargés
de faire passer le message de l'entraineur. Dans l'intimité du vestiaire,
d'autres relaient la parole de Dieu. Oscar Ewolo est un chrétien pratiquant. Le
staff de sa sélection, celle du Congo, a vite compris à quel point la foi du
petit milieu de défensif était inébranlable. Avant sa première apparition,
Ewolo a menacé de s'en aller sur-le-champs si on l'obligeait à avoir recours
au grigris locaux. D'abord critiquée, sa prise de position a fait des émules.
Devenu capitaine il est aussi surnommé le "Pasteur". Dans le
vestiaire congolais, désormais, on prie avant chaque match.
Dans son club, le FC Lorient; où cohabitent harmonieusement catholiques et
musulmans, Ewolo, persuadé que « l'Evangile casse
toute les barrières que la société installe et [que] Dieu ne fait pas de différence
» n'hésite pas non plus a transmettre sa foi : « Avant
les matches, on prie. Des coéquipiers viennent également à la maison, généralement
le jeudi. Je leur parle d'amour, d'espérance. Ces réunions ne sont pas réservés
aux pros. Elles sont ouvertes à tout le monde. Il y a des personnes qui n'ont
rien à voir avec le foot. Il nous arrive d'être vingt-cinq.»
Rassurons les futurs adversaires de Lorient. La prière n'entraîne pas
automatiquement une victoire des Merlus. « Nous
demandons au Seigneur de bénir notre travail, de nous aider à bien faire,
détaille Ewolo. On lui demande que tous se passe
bien, qu'il n'y ait pas de blessés, que les arbitres ne rencontrent pas de
problèmes. » Le très cartésien Christian Gourcuff ne conteste pas
l'influence de celui qu'il a recruté il y a deux ans, alors qu'il n'était plus
titulaire à Amiens en L2. « Sa générosité
naturelle cadre avec ce qu'on veut faire, explique l'entraîneur
lorientais. Il dynamise l'équipe par sa fraîcheur,
son enthousiasme et sa spontaneité. Et puis, arriver à des statistiques comme
les siennes, c'est tout sauf un hasard. »
Il a "initié" Gignac
Que disent les chiffres ? Qu'avec Ewolo
Lorient, la saison passée, a pris 88% de ses points (43 sur 49). En son absence
(9 matches), les Merlus ont perdus à cinq reprises, fait trois nuls et ont gagné
une seule fois. Cette saison, Gourcuff ne s'est passé des services d'Ewolo
pendant plus d'une mi-temps qu'à une seule reprise : quand Valenciennes est
venu s'imposer au Moustoir (3-1). « Si l'on me
disait que l'on a gagné grâce à Dieu... Disons que je relativiserais les
choses, sourit l'entraîneur morbihannais, davantage convaincu par les
bienfaits d'un travail tactique pointu. Maintenant,
si le fait de croire transcende certains joueurs, ça ne me dérange pas.
»
Le Toulousain André-Pierre Gignac, l'une des révélations de l'exercice
2006-2007, fait parti des convertis. Il se souvient de ce qui a précédé son
premier coup d'éclat : un triplé contre Nantes, le 26 Août 2006 (3-1). « Lors
de la mise au vert, nous faisions chambre commune avec Oscar. Nous avions prié
pour que je fasse un bon match. Quand il prie, Oscar ressent des choses. Avant
le match il m'a dit : "Dédé tu vas marquer". Résultat
: j'en ai mis trois. C'est lui qui m'a initié. Il m'a donné une bible et m'a
dit : " A toi de voir." J'allais
aux réunions chez lui. J'en sortais libéré. Plusieurs autres joueurs y
participent régulierement aussi. Oscar est un mec sain, qui a une influence
positive.»
A Lorient le petit milieu défensif a vite fait l'unanimité autour de lui. « C'est
l'un des chouchous des supporters », note Christophe Le Gal, le
responsable communication du FC Lorient. « L'important,
ce n'est pas ce qu'on croit, c'est ce qu'on fait et ce qu'on vit », répete
Ewolo. Dans l'avion, quand il s'apperçoit que plusieurs plateaux repas n'ont
pas été entamés, il les ramène avec lui et fait le tour de Lorient, en
pleine nuit, pour les distribuer à ceux qui n'ont pas la chance de manger à
leur faim...« C'est un sage, estime son
ancien coéquipier, l'Ajaccien Carl Medjani. Cette
histoire de plateaux repas le résume tout à fait. Il veut faire le bien autour
de lui. »
Après le foot, il sera pasteur
Sa foi implique une discipline quotidienne.
Pas la peine, par exemple, de le chercher dans une discothèque du Morbihan
quand Lorient gagne. « Mon plaisir est de chanter
du gospel, assure-t-il. Notamment "aime
ton prochain comme toi même..." Si on vivait tous avec ça à l'esprit, ce
serait formidable.» Ewolo estime qu' « on
ne naît pas chrétien, on le devient. » Il l'est vraiment devenu le 31
Décembre 1999, quand l'un de ses proches l'a ammené dans une église évangélique
à Paris : « J'ai écouté attentivement le
message. Désormais, je suis animé par une paix constante. Oui, ce message m'a
complètement changé. » Qui était - il avant ? Un jeune footballeur
comme beaucoup d'autres, qui « aimait s'amuser, ne
faisait rien de mal mais était quand même un petit voyou », se
souvient Emmanuel Duchemin. « Au foot, quand ça
n'allait pas, il pouvait insulter tout le monde. Il allait en boîte. Son truc
à lui, c'était la danse, poursuit le Nancéen, qui l'a connu à Amiens,
alors qu'ils avaient une dixaine d'années. Généralement
dans le vestiaire, il était dans son coin, ne disait rien. Et puis, il y a eu
un changement radical. Il a perdu un être cher, alors qu'il avait dix-huit ans.
Je ne sait pas qui l'a converti. Des gens l'ont accompagnés. Il prêche la
parole de Dieu. Ca se passait bien même si, au début, il nous saoulait un peu.
La dernière année à Amiens, il est devenu le gourou de l'équipe. Oscar,
c'est un type sur qui tu pourras toujours compter sans être pour autant obligé
de l'appeler tous les jours pour entretenir le contact. Quand je le revois, je
le chambre car tout le monde sait qu'il attend patiemment sa dulcinée.
» Son avenir, Ewolo l'a déjà tracé. Le mariage se précise. Et, quand il en
aura fini avec le foot, il servira Dieu, en tant que pasteur, mais aussi en
s'engageant dans des causes sociales qu'il trouve justes. Qui aurait pu en
douter ?
Raphaël Raymond
«Pasteur de Lorient». C'est ainsi que le
journal L'Equipe présente le footballeur Oscar Ewolo
ce mercredi 17 octobre, dans un portrait étonnant signé Raphaël Raymond... en
page 7 ! Et bientôt, c'est Canal+ qui diffusera un reportage sur sa foi.
Le principal quotidien sportif de l'Hexagone
rapporte que le milieu de terrain du FC Lorient occupe une place à part dans le
vestiaire, en relayant la Parole de Dieu. L'article commence d'ailleurs par une
anecdote lors de sa sélection en équipe nationale du Congo. «Le staff de sa sélection
a vite compris à quel point la foi du petit milieu défensif était inébranlable»,
écrit le journaliste, en rappelant qu'Oscar
Ewolo, lors de sa première apparition sous
le maillot du Congo, «avait menacé les dirigeants de s'en aller sur le champ,
si on l'obligeait à avoir recours, comme tous ses coéquipiers, aux gris-gris
locaux». D'abord critiqué, son ascension a été fulgurante, puisqu'il en est
rapidement devenu le capitaine. Aujourd'hui, au Congo, on prie fidèlement Jésus-Christ
avant chaque match !
Une influence exceptionnelle
Prédicateur avant d'être footballeur, Oscar
Ewolo partage librement sa foi. Chaque jeudi,
il organise même un groupe de maison... Et de nombreux coéquipiers viennent
prier. Il confie : «Nous demandons au Seigneur de bénir notre travail, et de
nous aider à bien le faire. On lui demande que tout se passe bien, qu'il n'y
ait pas de blessés et que les arbitres ne rencontrent pas de problèmes...».
Plus étonnant encore, l'entraîneur de Lorient, Christian Gourcuff, malgré sa
vision très cartésienne de la vie, ne peut contester la réelle «influence
Ewolo» au sein de son groupe... Et y compris dans les résultats. Il déclare
dans L'Equipe : «Sa générosité naturelle cadre avec ce que l'on veut faire.
Il dynamise l'équipe par sa fraîcheur, son enthousiasme et sa spontanéité.
Et puis, arriver à des statistiques comme les siennes, c'est tout sauf un
hasard...».
En effet, les chiffres sont éloquents. La saison
dernière, avec Oscar Ewolo sur
le terrain, l'équipe a remporté 88% de ses points. En son absence (9 matches),
les Merlus ont perdu à cinq reprises, ont fait trois matchs nuls, et n'ont gagné
qu'une seule fois ! En outre, la foi du petit «Ewolo»
s'avère contagieuse... L'un de ses coéquipiers, André-Pierre Gignac,
aujourd'hui transféré à Toulouse, fait partie des convertis. Celui-ci témoigne
: «J'allais aux réunions chez lui, j'en sortais libéré. Plusieurs autres
joueurs y participent régulièrement aussi. Oscar est un mec sain, qui a une
influence positive». Et le chouchou des supporters est un homme au grand cœur.
Raphaël Raymond rapporte encore cette anecdote : «Dans l'avion, quand il
s'aperçoit que plusieurs plateaux repas n'ont pas été entamés, il les ramène
avec lui, et fait le tour de Lorient, en pleine nuit, pour les distribuer à
ceux qui n'ont pas la chance de manger à leur faim». Son ancien coéquipier,
Carl Medjani le décrit comme «quelqu'un qui veut faire le bien autour de lui».
Il compte devenir pasteur
Depuis sa conversion dans une église évangélique,
un certain 31 décembre 1999, sa foi ne l'amène pas simplement à croire, mais
à vivre la Parole de Dieu. Après les victoires en Ligue 1, pas de beuveries,
ou de descente en boîtes de nuit. Oscar Ewolo
a d'autres distractions : «Mon plaisir, je le vis en chantant du Gospel,
notamment ''aime ton prochain comme toi-même''... Si on vivait tous avec ça à
l'esprit, ce serait formidable», dit-il, toujours souriant. Le petit voyou est
devenu un modèle, et ne cesse d'étonner son entourage. Désormais, son désir
est de travailler comme pasteur lorsque sonnera l'heure pour lui de raccrocher
les crampons.
Paul Ohlott Témoignage d’Oscar
Ewolo « J’ai grandi dans une famille de 7 enfants. Lorsque j’étais
enfant, nous allions à l’église, mais cela n’avait pas réellement
d’importance dans notre vie. Ma mère et mon père ne connaissaient pas
Dieu, ce n’était pour eux qu’une religion sans que ça n’influence le
reste de leur vie. Nous étions une famille très unie, mais alors que
j’avais 14 ans, mon père est mort et le bel équilibre de notre famille
a volé en éclats. Il y avait un vide dans la famille marqué par
l’absence de mon père, de son charisme, et ce vide, petit à petit, nous
a tous détruits, chaque membre de la famille. Nous souffrions tous en
silence, isolés dans notre douleur, et à cette souffrance nous
cherchions des solutions, des réponses pour la fuir ou la résoudre. Ma
soeur voulait se suicider, ma mère pleurait beaucoup. Elle ne voulait
pas nous montrer sa souffrance mais j’ai su après qu’en ces temps-là,
elle buvait avant d’aller se coucher pour parvenir à dormir. J’étais
donc un adolescent très mal en moi, perdu, sans autorité parentale et
sans repère. Je faisais ce que je voulais. Un jour, quelqu’un est venu
chez nous et a dit à ma mère que Jésus pouvait faire quelque chose pour
elle. Il lui disait que Jésus pouvait lui donner une espérance et
guérir toutes ses souffrances. Elle l’a écouté sans être d’accord avec
ce qu’il lui disait. Mais elle a commencé à lire la Bible, car cette
discussion la faisait s’interroger. Petit à petit, la foi est née dans
son coeur, et elle a décidé de croire que la Bible et ce que cet homme
lui avait dit, étaient vrais. Elle a choisi de placer sa confiance en
Dieu et d’accepter cette espérance et cet amour que Jésus lui proposait
au travers de ses lectures de la Bible et des Evangiles. Elle était
complètement transformée ! Je ne comprenais absolument pas ce qu’il se
passait dans sa vie, je pouvais simplement voir qu’elle n’était plus la
même. Elle priait tout le temps. Le soir quand je rentrais très tard de
boîte de nuit, je pouvais voir de la lumière dans sa chambre. Elle
priait. Elle priait pour que ses enfants puissent découvrir Jésus. Elle
a ensuite mis en place un moment de prière pour toute la famille, avec
ses sept enfants. Mais moi je ne voulais jamais y aller et je trouvais
toujours une bonne excuse : « j’avais l’entraînement le lendemain, il
fallait que j’aille me coucher », et ainsi de suite. Ma grande soeur
s’est convertie, puis ma petite soeur. Mon petit frère commençait à
aller à l’église, et c’est à ce moment là que ma soeur m’a donné une
Bible, le 15 avril 1998. Plusieurs mois sont passés, et en septembre,
j’ai commencé à la lire. Je ne voulais toujours pas aller à l’église
mais quelque chose commençait à se passer en moi. Quand je faisais des
choses un peu douteuses, que je savais contraires à ce que je pouvais
lire dans la Bible, je me sentais mal. Le 31 décembre 1998, pour
démarrer l’année, j’ai pris la décision d’aller à l’église. C’était
difficile pour moi d’y aller, je devais prendre le train. Ce soir-là,
j’ai croisé mes copains qui allaient en boîte. Ils m’ont demandé où
j’allais, ce que je faisais, et m’ont proposé de les accompagner. Une
lutte a alors commencé en moi, j’avais vraiment envie de suivre mes
copains ! Mais j’ai décidé de tenir ferme et d’aller à l’église.
Lorsque je suis arrivé à l’église, j’ai été profondément bouleversé par
l’amour qui y était manifesté, l’amour des gens entre eux : ils
aimaient la vie ! Le prêche aussi m’a beaucoup touché, il était écrit
pour moi. Le pasteur parlait du passage dans Matthieu qui dit qu’ « il
n’y a que les violents qui s’emparent du Royaume de Dieu”. Il prenait
l’exemple de lycéens qui veulent avoir le bac mais qui n’ouvrent jamais
un livre. Et il expliquait que Dieu, dans ce passage, nous invite à
nous donner les moyens d’atteindre le but qu’il a pour nous. Il nous
demande d’ouvrir le Livre, la Bible, et de prendre position. J’ai
compris que je devais faire un pas vers Lui et qu’il me donnerait la
capacité pour accomplir ce qu’il voulait dans ma vie. J’ai fait ce pas,
et du jour au lendemain, j’ai tout stoppé : les filles, les boîtes,
tout ce que je faisais pour essayer de trouver un petit plus à ma vie,
car j’avais trouvé quelque chose de beaucoup plus fort, l’amour au-delà
de tout. J’avais compris que Dieu avait changé mon coeur, je lui ai
confié ma vie, et ma vie a été transformée dans tous les domaines. Je
ne dis pas que tout est devenu facile, mais dans les moments
difficiles, je savais que Dieu était là et que je pouvais compter sur
lui. Juste avant d’accepter Jésus, je montais en puissance au niveau du
foot, je devenais de plus en plus fort. Juste après avoir accepté
Jésus, tout s’est écroulé. J’ai eu une grande blessure qui m’a éloigné
longtemps loin des terrains. Je ne comprenais pas trop pourquoi Dieu
permettait ça, je lui demandais dans la prière : “Pourquoi ?
J’abandonne tout pour toi. Je n’arrête pas de parler de toi, mais
regarde, les gens voient juste que je suis blessé.” Plus rien ne
marchait dans ma carrière, et tout le monde en parlait, les médias, les
gens autour de moi. Malgré tout cela, j’étais confiant, car dans ces
moments d’épreuve, de blessure, je savais et je sais que Jésus est là
et est au-dessus de tout. A ce moment-là, j’ai compris que Dieu me
demandait encore plus, il voulait que je le mette en premier dans ma
vie. Il voulait prendre toute la place et pas seulement 99% pour lui
tout en gardant 1% pour le foot. Dans ce temps de blessure, j’ai eu
plus de temps seul avec Dieu et j’ai pu grandir dans ma foi. Au bout
d’un an, j’ai compris que si je le mettais à la première place, il
utiliserait mon travail. Dès que j’ai compris cela, j’ai été
sélectionné dans l’équipe nationale alors que je ne jouais même pas en
club. J’ai fini parmi les 18 meilleurs joueurs de la CAN en 2000. Dans
les moments difficiles, je retiens ce verset des Psaumes 23 « Quand je
marche dans l’ombre de la mort, je ne risque rien, car tu es avec moi…
» Tout homme passe par des moments de détresse (par la vallée de
l’ombre de la mort), que l’on croit en Dieu ou pas. Mais quand on
accepte Jésus dans sa vie, on a toujours cette assurance, même dans ces
moments-là, qu’il est là, qu’il est notre ami et que nous pouvons
compter sur lui. Faire confiance est différent de croire. Vous pouvez
simplement croire en Dieu, mais ce que Dieu attend de nous, c’est de
lui faire confiance dans ce qu’il nous demande.Jésus est la star des
stars. Je fais un travail qui me permet d’avoir tout, argent,
popularité, mais je peux vous garantir qu’appartenir à Jésus et
incomparablement mieux que tout cela. Au foot, j’ai été transféré d’une
équipe à une autre et c’est toujours gratifiant de voir qu’un club est
prêt à payer pour vous racheter à un autre et pour que vous jouiez pour
lui. Ce qui est encore plus extraordinaire pour moi, c’est que Dieu a
payé beaucoup plus pour me transférer dans son équipe. Il a donné son
fils unique afin que je puisse faire partie de son équipe. Et
maintenant, c’est toi qu’il veut sélectionner. Et crois moi, c’est
formidable, car dans cette équipe, quoiqu’il t’arrive, tu es sûr de
pouvoir remporter la victoire, et que jamais tu ne seras mis sur la
touche.«
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