Béni sois-tu, ô Seigneur notre Dieu !
Tu as fait le sable, l'herbe, les arbres,
et doucement dans le plus haut chêne,
Tu souffles une douce brise.

Tu as dessiné le petit ruisseau bouillonnant.
Tu as peint l'étang placide.
Tu soupires le crépuscule le plus profond.
Et souris l'aube la plus brillante.

Sous le brouillard, sous la brume,
qui dérive sur le sol,
Tu fais virevolter ton puissant doigt,
et tourner ce monde autour.

Les collines, les vallées, le bois sinueux,
inspire une âme à chanter,
était toujours là une telle beauté, Seigneur
où roule le green émeraude.

Oh mon Dieu, je sais que tu es un golfeur,
Ton travail exige donc.
Cela semble Ton seul handicap,
est cette chose que tu appelles l'homme.

Cela peut-il être une île, Seigneur ?
Un lieu de grâce et de charme.
Loin des ennuis quotidiens Seigneur,
loin du mal quotidien ?

Nous prions pour que cela soit, mon Dieu,
un lieu où l'amour s'étend.
Où les voyageurs viennent en tant qu'étrangers
et les golfeurs partent comme des amis !

William Everyman 2000