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Retour DISCOURS DE JEAN-PAUL II
Chers joueurs de football de Milan !
Votre visite est une occasion de grande joie. Cela m'offre une rencontre avec de jeunes athlètes qui, à la veille de leurs derniers jeux de l'année, et avec le championnat d'Italie 1979 déjà à disposition, ont voulu rendre hommage au pape en donnant une morale et spirituelle signification dans la victoire que nous sommes en train de célébrer. Je vous remercie cordialement, chers jeunes gens, et je vous remercie de votre visite, tous ensemble avec votre président, vos dirigeants et votre coach. En vous voyant, je ne peux pas ne pas exprimer encore une fois mon profond amour pour tous les sportifs et pour le sport lui-même sous toutes ses formes, en même temps que l'estime que l'Eglise a pour cette noble activité humaine. L'Eglise, comme vous le savez, admire, approuve, et encourage le sport, vu comme un certain entraînement du corps et de l'esprit, aidant dans les relations sociales qui ont trouvé un mutuel respect de la personne, et un élément de cohésion sociale qui favorise les rassemblements amicaux des personnes à un niveau international. La dignité du sport est exalté au degré que sa pratique est inspiré par les principes de santé qui excluent tous les risques non nécessaires du côté de l'athlète, et les émotion désordonnées d'une partie des supporters qui peuvent arriver en compétition. Je pense que vous ne pouvez pas ignorer de reconnaître votre potentiel pour les valeurs civiques et chrétiennes. Dans un monde qui a souvent du mal à reconnaître la présence des jeunes qui sont sans vie, marqués par les mauvaises et négatives expériences, vous pouvez être pour eux, sages amis, des guides expérimentés et des entraîneurs, non seulement sur le terrain du jeu, mais aussi tout au long de leurs chemins, pour qu'ils franchissent le fil de la ligne d'arrivée avec les vraies valeurs de la vie. Sur ce chemin vous avez apporté de bonnes choses spirituelles à la satisfaction humaine qui va de l'effort sportif, jusqu'à offrir à la société une précieuse contribution pour une santé morale. Sur ce chemin, vous avez donné à l'Eglise la joie de voir en ces jeunes hommes qu'il sont fort et capable de résister au démon ( cf 1 Gv 2, 14 ). Mes chers frères, ceux-i alors, sont les sentiments que votre jeunesse exubérante a remué dans mon esprit. Puisse le Seigneur Jésus vous accorder ce "but", la fin ultime, qui est la vraie et ultime destinée de vos vies. Puisse mes bénédictions que je vous adresse cordialement à vous tous et à vos familles et amis, vous soutenir pour atteindre ce but. |